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Test de Surgeon Simulator 2 – Chirurgie mobile en formation

Surgeon Simulator 2Souvenez-vous, le premier Surgeon Simulator nous apportait déjà une approche très libre de la chirurgie avec son gameplay exigeant pouvant amener à de nombreux débordements, d’où son côté fun. Sept ans après, Bossa Studios change un peu leur formule dans Surgeon Simulator 2 pour nous offrir de la coopération sans oublier le côté drôle et fun.

Surgeon Simulator, une histoire de… chirurgie ?

Tout d’abord, le titre propose plusieurs modes de jeu pour pouvoir détourner son gameplay dans tous les sens dont un mode Campagne qui, chose à noter, possède un scénario.

Nous sommes l’un des premiers heureux à tester le nouveau programme Surgeon Simulator visant à former les meilleurs chirurgiens mais on comprend rapidement que quelque chose ne va pas : des voix sortant des aérations, des portes s’ouvrant avec des organes ou des membres, des salles d’opérations en foutoir… Nous devrons donc y découvrir les histoires des fondateurs du programme.

Bien évidemment, l’histoire du jeu n’est qu’un prétexte pour vous amener dans des situations délirantes, mais elle reste tout de même utile en nous offrant des prétextes pour des changements d’ambiance qui font plaisir et accompagnent dans nos sept heures d’opérations de « haute qualité ».

Une formation tortueuse

Ainsi, la formule Surgeon Simulator a subi un petit changement. Nous avons toujours les opérations chirurgicales mais, maintenant, la caméra n’est plus centrée sur la table d’opération puisque le personnage peut se déplacer dans les méandres de ce centre de formation labyrinthique où l’on sera confrontés à de nombreuses énigmes.

Les différentes salles où l’on joue sont tortueuses, remplies d’obstacles, d’interrupteurs ainsi que de mécanismes loufoques que nous devrons activer pour pouvoir trouver les bons outils et pouvoir soigner le patient. C’est donc avec une espèce de côté chasse au trésor que nous devons observer, ouvrir les tiroirs, les portes et farfouiller un peu partout à la recherche de scalpels, de scies, de marteaux et de seringues pour arrêter les hémorragies et redonner du sang au patient pour le soigner et ainsi finir le niveau.

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En avançant dans la campagne, les situations varient pour forcer les joueurs à utiliser au mieux leurs ressources qui deviennent de plus en plus rares. Il faut donc privilégier l’utilisation des outils qui ont un impact moindre sur la perte de sang que l’arrachage pur et simple des organes et des membres.

Maintenant, pour utiliser ces outils ou tout arracher pour les plus sanglants, nous devons utiliser notre petite main levée. Par rapport au précédent volet, il n’est plus possible de bouger les doigts individuellement. Le bouton gauche de la souris sert donc à empoigner tous les objets que nous trouverons et le bouton droit sert à bouger le poignet dans toutes les directions. Enfin, la touche MAJ permet d’avancer et de reculer la main. Il faudra sûrement un temps d’adaptation pour pouvoir utiliser cette main qui peut être levée, avancée ou reculée et tournée à gauche, à droite, en haut et en bas.

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On doit donc souvent s’y reprendre à plusieurs fois afin d’arriver à attraper correctement un objet fourré dans un coin mais le manque de précision fait clairement partie du côté drôle du jeu, vu les situations folles que cela peut créer. Cependant, cela peut surtout être frustrant lorsqu’on n’arrive pas à utiliser tout simplement un objet.

Ajout personnel d’opérations

En plus de la campagne, Surgeon Simulator 2 propose aussi un éditeur de niveaux très complet vu que Bossa Studios l’a vraisemblablement utilisé pour créer les principaux niveaux. Il est donc possible de faire tout ce que l’on veut avec les ressources du jeu, les visuels comme les mécaniques.

Les créations ainsi faites pourront être partagées puis, après vérification par les développeurs, être jouées par la communauté.

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Ce sont ces niveaux qui se lanceront lors de vos Parties Rapides en multijoueur. Vous pourrez y terminer des défis qui permettront de gagner des récompenses de saison pour personnaliser votre personnage.

En parlant du multijoueur, les différents modes de jeu du titre peuvent se faire en coopération jusqu’à 4 joueurs. Chacun dispose d’un personnage à incarner et personnaliser pour pouvoir se distinguer des autres par sa tenue comme par ses compétences de tout bon chirurgien.

Surgeon Simulator 2

Sanglant jeu cartoonesque

Le jeu se pose dans une pâte enfantine qui calme la sévérité des détails sanglants des opérations (on peut tout de même arracher la tête d’un gars à mains nues sans sourciller) mais ce qui nous accompagne dans ces niveaux funs, c’est la musique du jeu qui est entraînante et nous plonge dans l’ambiance clownesque des différentes parties.

Surgeon Simulator 2

Conclusion

Pour conclure, ce second épisode de Surgeon Simulator nous montre que Bossa Studios a réussi à améliorer sa formule avec des énigmes et l’ouverture de l’expérience multijoueur en ligne. La campagne permet de s’améliorer durant les sept heures qu’elle nous offre avec ses changements d’ambiance et de situations qui deviennent de plus en plus grotesques. Les niveaux se complexifient avec le temps nous obligeant à repenser la façon de soigner le patient et changeant rapidement les systèmes de Surgeon Simulator 2. De plus, la coopération apporte son lot de fun et permet d’apprécier autrement le jeu. L’éditeur de niveaux, lui, ravira sûrement ceux cherchant plus d’opérations loufoques et ayant l’envie de partager leurs créations.

Surgeon Simulator 2

Notre Résumé

Test de Surgeon Simulator 2 – Chirurgie mobile en formation

8.5
Excellent

Bons Points

  • Gameplay simple à comprendre mais dur à maitriser
  • Ambiance déjantée
  • Scénario poussant à s’améliorer
  • Editeur de niveaux très complet

Mauvais Points

  • Actions peu précises
  • Physique parfois frustrante

A Propos de l'Auteur :

Bonjour à tous, je me présente Maxime, aka « Makuto ». J’ai 23 ans et j’aime bien tout ce qui touche à l’animation et la bande dessinée. Je suis aussi passionné par les jeux vidéo depuis mon plus jeune âge pour les nouvelles histoires qu’ils me font vivre.

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